Les « Zones interdites aux non-musulmans » prolifèrent en Europe
Un article un peu ancien de Soeren Kern dans Hudson NY sur l'« occupation sans tanks ni soldats » des villes européennes.
http://www.postedeveille.ca/2011/08/les-zones-interdites-aux-non-musulmans-proliferent-en-europe.html
Les islamistes intensifient la création de zones interdites aux non-musulmans dans les villes d’Europe.
La plupart de ces « zones interdites » fonctionnent comme des
micro-états gouvernés par la charia. Les autorités des pays d’accueil
ont, en effet, perdu le contrôle de ces quartiers et dans plusieurs cas,
les services publics n’ont plus accès, tels que la police, les pompiers
et les ambulances.
Les « zones interdites » sont le
résultat de décennies de politique multiculturelle qui ont encouragé les
musulmans à créer des sociétés parallèles et à vivre dans
l’auto-ségrégation plutôt que de s’intégrer dans leurs pays d’accueil
européens.
En Grande-Bretagne, par exemple, le
groupe musulman « Muslims against the Crusades » a lancé une campagne
pour transformer douze villes anglaises, incluant ce qu’ils appellent
« Londonistan », en états islamiques indépendants. Ces soi-disant
émirats islamiques fonctionneraient comme des enclaves autonomes,
soumises à la charia et opérant complètement en dehors du droit
britannique.
Cet « Islamic Emirates Project » cite
les villes de Birmingham, Bradford, Derby, Dewsbury, Leeds, Leicester,
Liverpool, Luton, Manchester, Sheffield, ainsi que Waltham Forest au
nord-est de Londres, et Tower Hamlets à l’est, en tant que territoires
appelés à être entièrement soumis à la charia.
A Tower Hamlets (aussi nommé République islamique de Tower Hamlets) des prédicateurs musulmans dénommés Tower Hamlets Talibans
profèrent régulièrement des menaces de mort contre les femmes ne
portant pas le voile. Les rues avoisinantes ont été placardées
d’affiches avertissant : « Vous entrez dans une zone contrôlée par la
charia : la loi islamique s’applique ici ». Toutes les publicités jugées
offensantes pour les musulmans sont systématiquement vandalisées ou
recouvertes de spray noir.
A Luton, dans le quartier de Bury Park,
les musulmans sont accusés d’opérer un nettoyage ethnique en harcelant
les non-musulmans au point que la plupart ont déménagé loin du voisinage
des musulmans. Dans les West Midlands, deux prédicateurs chrétiens ont
été accusés de « crime de haine » pour avoir distribué des feuillets des
évangiles dans une zone à prédominance musulmane de Birmingham. A
Leytonstone, à l’est de Londres, l’extrémiste musulman Abu Izzadeen a
hurlé : « Comment osez-vous venir dans une zone musulmane ? » contre le
précédent Home Secretary, M. John Reid.
En France, de larges secteurs de
quartiers musulmans sont considérés comme « zones de non-droit » par la
police française. Récemment on a décompté 751 « zones urbaines
sensibles, les ZUS » comme on les appelle par euphémisme. Une liste
complète de ces ZUS se trouve sur un site officiel du gouvernement
français, avec cartes satellites et démarcations précises des rues. On
estime à cinq millions les musulmans vivant dans ces ZUS, des zones
entières dont la République française a perdu le contrôle.
Les immigrés musulmans prennent le
contrôle d’autres parties de la France. A Paris et dans les autres
villes françaises avec une nombreuse population musulmane, telles que
Lyon, Marseille et Toulouse, des milliers de musulmans ferment les rues
et les trottoirs (et par conséquent, ferment les commerces et piègent
les non-musulmans dans leur appartement ou leur bureau) afin de laisser
des hordes de musulmans faire leur prière du vendredi. Certaines
mosquées commencent même à faire hurler des haut-parleurs avec leurs
prêches et leurs allah akbar dans les rues.
Ces spectacles hebdomadaires, documentés sur des douzaines de vidéos postées sur YouTube (ici, ici, ici, ici, ici, ici, ici, ici et ici)
ont été dénoncés comme une « occupation sans tank ni soldats » et
provoquent la rage et l’incompréhension des populations. Malgré de
multiples plaintes, les autorités locales refusent d’intervenir car
elles craignent de susciter des émeutes.
Dans Bruxelles, la capitale de la
Belgique qui est déjà à 20 pour cent musulmane, plusieurs quartiers
d’immigrés sont devenus des zones interdites aux policiers, qui sont
fréquemment caillassés par des jeunes musulmans lorsqu’ils y pénètrent.
Dans le district de Kuregem à Bruxelles, qui ressemble souvent à une
vraie zone de guerre urbaine, la police doit patrouiller ce quartier
avec deux cars de police : le premier pour transporter la patrouille, le
second pour empêcher l’attaque du premier. Dans le quartier de
Molenbeek à Bruxelles, la police a reçu les ordres de ne pas boire un
café ni de manger un sandwich en public pendant le ramadan.
En Allemagne, Bernhard Witthaut, commissaire de police, a déclaré le 1er août au journal Der Westen,
que les immigrés musulmans sont en train d’imposer des zones interdites
dans de nombreuses villes allemandes, à une vitesse alarmante.
Dans cet article le journaliste demande à
M. Witthaut : « Dans ces zones urbaines, par exemple dans la Ruhr, où
des quartiers entiers sont des zones interdites, cela signifie-t-il que
la police n’y assure plus la sécurité ? » M. Witthaut répondit : « Les
commissaires de police et le ministre de l’Intérieur nient ces faits.
Mais évidemment, nous savons très bien où nous pouvons aller avec une
voiture de police et où il nous faut un véhicule de transport de
troupes. La raison véritable c’est que nos collègues ne peuvent plus y
aller en équipes de deux et ont peur de devenir eux-mêmes les victimes
d’un crime. Nous savons que ces zones existent. Et ce qui est plus
grave : dans ces zones, les auteurs de crimes ne sont même plus
inculpés. Ces zones sont livrées à elles-mêmes, abandonnées. Il faut
vraiment un cas très grave pour que nous, les policiers, en ayons des
échos. Le pouvoir de l'Etat est totalement absent de la scène ».
En Italie, les musulmans ont pris le
contrôle de la Piazza Venezia à Rome pour les prières de rue. A Bologne,
les musulmans menacent régulièrement de faire sauter la Cathédrale San
Pietronio car elle contient une fresque vieille de six siècles inspirée
de l’Enfer de Dante et qui dépeint un Mahomet tourmenté par des diables
de l’enfer.
Aux Pays-Bas, un tribunal hollandais a
exigé du gouvernement de publier une liste politiquement incorrecte des
40 zones interdites de Hollande. Les cinq quartiers musulmans les plus
problématiques sont à Amsterdam, Rotterdam et Utrecht. Le quartier
Kolenkit à Amsterdam est le problème numéro un du pays. Ensuite les
trois districts dangereux sont Pendrecht, Het Oude Noorden et Bloemhof à
Rotterdam. Le quartier Ondiep à Utrecht arrive en cinquième position
suivi de Rivierenwijk (Deventer) Spangen (Rotterdam), Oude Westen
(Rotterdam), Heechterp/Schieringen (Leeuwarden) et Noord-Oost
(Maastricht).
En Suède, qui possède les lois les plus
généreuses pour l’immigration en Europe, de larges territoires au sud de
Malmö, qui a plus de 25 pour cent de musulmans, sont des zones
interdites aux non-musulmans. Les pompiers et les ambulances refusent
d’entrer dans les quartiers musulmans tels que Rosengaard sans une forte
escorte policière. Le chômage masculin à Rosengaard est supérieur à 80
pour cent. Quand les pompiers essayèrent d’éteindre un incendie à la
mosquée principale de Malmö, ils furent reçus à coups de cailloux.
Dans la ville suédoise de Göteborg, les
jeunes musulmans lancent des cocktails Molotov sur les voitures de
police. Dans le quartier d’Angered, où plus de quinze voitures de police
ont été détruites, des jeunes ont même pointé des lasers en direction
des yeux des policiers, certains d’entre eux furent temporairement
aveuglés.
Dans le quartier de Backa à Göteborg,
des jeunes ont lancé des pierres sur les patrouilles de police. La
police a aussi des difficultés pour empêcher que les jeunes brûlent des
voitures et attaquent les services d’urgence et de secours dans
plusieurs quartiers de la ville.
Selon un Iman basé à Malmö, Adly Abu Hajar : « La Suède est le meilleur état islamique au monde ».
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